Un trèfle à quatre Plum. Stéphanie doit chercher un sac rempli d’argent qui s’est perdu… Enfin pas vraiment puisque c’est Mamie Mazur qui l’a retrouvé !
Qui a peur du grand méchant Lou ? Stéphanie est confrontée à Lou, un dangereux tueur, qui s’est associé à l’homme qu’elle doit retrouver : Martin Munch.
Bon, autant je suis fan de Stéphanie, autant j’ai du mal à accrocher avec les histoires un peu sans queue ni tête dans lesquelles Diesel apparaît. Sur le roman précédent ça passait, mais là ma lecture a été plutôt laborieuse. Un trèfle à quatre Plum est plutôt sympathique à lire. Et puis Mamie Mazur est toujours aussi géniale, complètement déjantée. J’ai bien ri, ça se lit facilement. Ce n’est pas à la hauteur des enquêtes habituelles de Stéphanie mais c’est plaisant.
La seconde nouvelle m’a fait complètement décrocher. Rien à faire, je n’ai pas réussi à vraiment rentrer dedans, et je n’ai pas forcément trouvé ça drôle. Diesel est trop « déconnecté » du monde de Stéphanie, et là ça a vraiment été trop flagrant. Le singe Carl m’a paru trop bizarre et j’ai détesté le fait que le personnage de Martin Munch, que Stéphanie connaît pourtant, apparaisse ici comme un nouveau personnage, complètement différent de ce qu’il est d’habitude. J’ai réussi à terminer avec peine, et à la fin je ne comprenais plus les motivations des personnages, je ne suivais plus ce qu’il se passait. J’ajoute que Diesel me laisse complètement froide, contrairement à Morelli ou Ranger.
Ce tome-ci est donc dispensable, même si ça fait patienter en attendant la suite des aventures de Stéphanie qui ne devrait plus tarder maintenant…